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Sandra Regol: "On n’a pas le choix, on a besoin d’un ou d’une écologiste à l’Elysée et on est prêts" | |||||||||||||||
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Ce week-end, les écologistes organisaient sur France Inter leur premier débat des primaires. On y revient avec Sandra Regol, secrétaire national adjointe d’EELV. Elle est l’invitée de #LaMidinale. www.regards.fr Sur la candidature de Montebourg « Il s’est revendiquer d’être un exploitant bio mais je ne sais pas sur quel label (…). Il s’est aussi revendiqué d’un productivisme inspiré des années 70. Je ne suis pas tout à fait sure que l’écologie politique se définisse sous le prisme du productivisme. Il me semble au contraire que l’écologie est une pensée politique qui implique de sortir du productivisme. » « Arnaud Montebourg a peut-être repeint en vert sa candidature mais il ne me semble pas pour autant que ça veuille dire qu’il soit écologiste. » « Je n’ai pas l’impression que le grand public ait reçu la candidature d’Arnaud Montebourg comme une candidature écolo. » Sur le débat des écologistes « Ce débat était voulu comme - peut être pas "sage" - mais mature. » « On est habitué à des primaires qui soient des chamailleries internes ou externe, personnes - chacun essayant de décrédibiliser son adversaire. Ce qu’on a essayé de faire, avec les cinq candidats, c’est de développer un débat qui permet de discuter du fond. Et sur ce point, c’est une réussite. » Sur la crédibilité des écologistes « Comme le dit l’économiste Eloi Laurent, la crédibilité c’est la BCE, pas la politique. » « La politique, en France, a besoin de renouveler les figures du pouvoir. » « Le présidentialisme a fait long feu, il faut redonner plus de pouvoir aux citoyens et restaurer le sens de la démocratie. » « On essaie de construire une nouvelle crédibilité avec d’autres visages, d’autres propositions. » Sur les journalistes de France Inter « Mon téléphone n’a pas arrêté de sonner à la fin du débat sur France Inter pour réagir : tous m’ont parlé d’un débat impartial, d’une impression de voir les écologistes face à un tribunal et de se demander pourquoi le service public qui est censé incarner cette impartialité se livrait à des dérives qu’on voit plus chez les chaines de Bolloré pour reprendre leurs mots. » « Il y a cette impression que les journalistes ont pris plus de place que les candidats et que le débat a eu lieu entre les journalistes et candidats et pas les candidats entre eux. » Sur les engagements des candidats « Nos journées d’été ont montré qu’on partait tous dans la même dynamique, ensemble. » « Jean-Marc Governatori n’a pas dit qu’il ne soutiendrait pas le ou la candidat-e qui serait désigné-e. » « La politique se fonde sur la confiance donc sur la parole donnée. Si la parole donnée n’est pas respectée, ils ou elles dévoieraient leur parole par rapport aux citoyens. » « Je suis optimiste et je connais les candidats : ils respectent leur parole donnée. » Sur les profils des candidats « La primaire des écologistes va se jouer sur l’incarnation et pas sur le projet politique qui est déjà acté. » « Les candidats ont tous un projet commun qu’on a travaillé collectivement. » « Les cent premiers jours des cinq candidats - s’ils devaient s’installer à l’Elysée - ne seront pas les mêmes selon le candidat (…). Mais à la fin, le projet vers lequel ils dirigeront la France sera le même. L’objectif reste le même. » Sur le candidat qui sera désigné « Il y aura deux messages importants dès après la désignation de notre candidat : 1- on est ensemble. 2- On est là pour répondre à l’urgence climatique, sociale, démocratique et économique. Ça sera le message à avoir quelle que soit la personnes désignée. » « Je mettrai, comme tout le reste du bureau exécutif et Julien Bayou en tête, toute notre énergie au service de la personne qui sera désignée. » « On n’a pas le choix, on a besoin d’un ou d’une écologiste à l’Elysée et on est prêts. » Sur l’hypothèse d’un accord EELV/PCF/PS aux législatives « Ça serait tellement beau si tout était déjà écrit d’avance mais ça n’est pas du tout comme ça. » « Je me tue à le répéter : nous discutons toute l’année avec l’ensemble des forces de gauche. » « On a toutes et tous dit qu’il fallait un pack gouvernemental pour la France. » « Il y a cette volonté d’aller vers quelque chose de commun. » « Nous sommes ouverts à la discussion et nous ouvrons les portes : il faut créer une majorité de gouvernement avec un projet. Pour ça, il faut que la gauche se bouge un peu. Pour l’instant, on les a tous vu partir chacun de leur côté avec des projets dont on a pas bien compris ce qui les différenciait. » « On ne peut pas faire l’union tout seul. » « À ce jour, il n’y a pas grand monde qui soit sorti des égos. » « On peut dire ce que l’on veut des écolos mais depuis qu’on est aux manettes dans les villes, la radicalité de nos actes à largement dépassé la radicalisé de nos mots. » La suite du Verbatim sur www.regards.fr News 2021-09-06 15:24:01 Partager sur Facebook News Chaine Youtube News Youtube - Google - Sandra Regol: "On n’a pas le choix, on a besoin d’un ou d’une écologiste à l’Elysée et on est prêts" - Google - Sandra Regol: "On n’a pas le choix, on a besoin d’un ou d’une écologiste à l’Elysée et on est prêts" wiki - Google News Youtube - Bing - Sandra Regol: "On n’a pas le choix, on a besoin d’un ou d’une écologiste à l’Elysée et on est prêts" - Bing - Sandra Regol: "On n’a pas le choix, on a besoin d’un ou d’une écologiste à l’Elysée et on est prêts" wiki - Bing La vidéo intitulée Sandra Regol: "On n’a pas le choix, on a besoin d’un ou d’une écologiste à l’Elysée et on est prêts" a été publié sur Youtube le 2021-09-06 15:24:01. 25- prêts" est on et l’Elysée à écologiste d’une ou d’un besoin a on choix, le pas n’a "On Regol: Sandra |
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