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"Au Burundi, le référendum de la peur" | |||||||||||||||
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Abonnez-vous à notre chaîne sur YouTube : http://f24.my/youtube En DIRECT - Suivez FRANCE 24 ici : http://f24.my/YTliveFR Dans la presse, ce mercredi 16 mai, l’inauguration, hier, pas Vladimir Poutine, d’un pont entre la Russie et la Crimée, annexée en 2014. La répression au Burundi avant le référendum de demain. La mobilisation des étudiants sénégalais. Le mariage de Meghan et Harry. Et le secret des tubes. Le + : Recevez tous les matins la Revue de presse de France 24 sur votre iPhone ou sur tout autre mobile. Et également toujours sur votre PC en devenant fan sur Facebook… Dans la presse, ce matin, l’inauguration, hier, par Vladimir Poutine, d’un pont entre la Russie et la Crimée, annexée par Moscou en 2014, un ouvrage de 19 kilomètres – le plus long d’Europe. Ce pont tout neuf, qui relie la péninsule de Taman, dans le sud de la Russie, à la péninsule ukrainienne de Kertch, aurait coûté plus de 3 milliards d’euros, d’après The Washington Post, qui présente l’ouvrage comme «une victoire pour la propagande» du Kremlin et comme «la dernière manifestation en date du système de pouvoir personnel» exercé par Vladimir Poutine – qui a tenu à traverser lui-même ce nouveau pont au volant d’un camion orange, en jeans et blouson noir - des images retransmises à la télévision, dans une mise en scène «destinée à faire étalage de sa résolution et de son autorité», selon le quotidien américain. L’Union européenne dénonce «une nouvelle violation de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de l’Ukraine par la Russie», et estime que ce pont vise à «poursuivre l’intégration forcée de la péninsule annexée illégalement» – une analysée partagée par les Etats-Unis, où The Washington Examiner propose à Kiev de «détruire» ce pont, en lançant des frappes qui le rendraient au moins temporairement impraticable. «Il en va de la crédibilité de l’Ukraine en tant que nation», assure le magazine conservateur. Au Burundi, les électeurs sont appelés demain à participer à un référendum sur la réforme constitutionnelle imposée par le président Pierre Nkurunziza. «Chez nous, c’est la peur qui règne à cause du référendum du 17 mai. Priez pour nous. Toutes les radios internationales ont été fermées. Beaucoup de gens sont emprisonnés. On oblige tout le monde à voter “oui” pour le référendum»: voilà le message qu’un habitant de Bujumbura a adressé au journal La Croix il y a quelques jours - un message qui «en dit long sur la situation dans la capitale burundaise et dans l’ensemble de ce petit pays au cœur de l’Afrique des grands lacs», selon le quotidien, qui rappelle que la campagne pour ce référendum a été marquée par des violences. D’après La Croix, la révision proposée par le président burundais, qui se place d’emblée «devant Dieu», transforme le quinquennat en septennat, élargit considérablement son pouvoir et lui permet de se maintenir jusqu’en 2034. Un article prévoirait même le rétablissement de la monarchie «par référendum». «Au profit de qui?», demande le journal, qui rapporte que «le texte ne le dit pas», mais que «tous les observateurs pensent à Pierre Nkurunziza». Au Sénégal, le retard dans le versement des bourses aux étudiants provoque un large mouvement de contestation. Le Monde fait état de violents heurts, hier, dans plusieurs villes du Sénégal, après la mort d’un étudiant lors d’une confrontation avec la police sur un campus de Saint-Louis. D’après le journal, la colère s’est ensuite rapidement étendue aux autres universités du pays, notamment dans la capitale, Dakar, où les affrontements ont été particulièrement intenses. Le Monde rapporte que les étudiants sénégalais réclament le versement de leurs bourses d’études depuis le début de l’année – depuis que l’Etat a lancé une plate-forme numérique pour moderniser son système de paiement, un problème pour les centaines d’étudiants qui ne disposent pas de cartes bancaires. Plus que trois jours, maintenant, avant le mariage, au Royaume-Uni, du prince Harry et de Meghan Markle. On a évoqué hier l’annonce du père de la future mariée, faisant savoir qu’il ne serait pas présent à la cérémonie: eh bien en fait, si, il va venir, nous apprend The Sun – très inspiré par la bonne nouvelle: «Aisle be there», titre le tabloïd, tout guilleret - un jeu de mot qui signifie à la fois «je serai là», et «je la conduirai à l’autel». Décidément, quel suspense. Les Markle pour lesquels le très sérieux Guardian prend fait et cause, en demandant à ce qu’on les «laisse tranquilles» – «le goût pour les ragots ne dev... Lire la suite sur notre site web. 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