Top Video Youtube |
|||||||||||||||
Iran: "Briser les poings qui se lèvent n'a jamais éteint la rage" | |||||||||||||||
|
|||||||||||||||
Abonnez-vous à notre chaîne sur YouTube : http://f24.my/youtube En DIRECT - Suivez FRANCE 24 ici : http://f24.my/YTliveFR Au menu de cette revue de presse française, jeudi 4 janvier, la déclaration du chef des pasdaran iraniens, qui assure être en mesure d’annoncer « la fin de la sédition », après les manifestations de cette dernière semaine. La mise entre parenthèses de la carrière politique de Najat Vallaud-Belkacem. Les vœux d’Emmanuel Macron à la presse. Et une campagne salutaire en Allemagne. Le + : Recevez tous les matins la Revue de presse de France 24 sur votre iPhone ou sur tout autre mobile. Et également toujours sur votre PC en devenant fan sur Facebook… A la Une de la presse française, ce matin, la déclaration du chef des pasdaran, les «gardiens de la révolution» iraniens, qui a assuré, hier, être en mesure d’annoncer «la fin de la sédition», après plusieurs jours de manifestations contre le pouvoir. Le mouvement de contestation risque à présent «l’étouffement» par le régime, d’après Libération, qui annonce «le réveil de la peur» en Iran. «Après les manifestations, qui ont fait une vingtaine de morts dans plusieurs villes de province, les autorités reprennent la main», écrit Libé, alarmé des «lourdes sanctions» qui planent à présent sur «ceux qui osent défiler et braver la peur de la répression» - des manifestants dont la cible serait surtout «la théocratie autoritaire et ses institutions abondamment financées par les deniers publics», selon le journal, qui rappelle que «briser les poings qui se lèvent n’a jamais éteint la rage», mais «l’attise». Libé demande à la communauté internationale d’assurer au peuple d’Iran que «le monde le regarde et entend sa voix». Le régime de Téhéran ne serait pas menacé d’effondrement, selon la Croix, qui parle d’un pouvoir «encore solide face à la contestation», qui disposerait toujours de «plusieurs cartes» pour résister, notamment le fait qu’il intègre en son sein des modérés, capable d’admettre les difficultés auxquelles les Iraniens sont confrontés. Le mouvement de contestation de ces derniers jours intervient alors que le pays bénéficie de la levée partielle des sanctions économiques, après l’accord sur le nucléaire iranien. D’après l’analyste Alireza Nader, cité par les Echos, il serait «évident» que les troubles actuels provoqueront un regain de tension entre Washington et Téhéran, et auront des conséquences sur cet accord, que le président Trump ne cesse de vilipender. «Le pays va rester instable durant les prochains mois, voire les prochaines années», assure-t-il, en recommandant aux investisseurs occidentaux de ne pas s’y «précipiter», comme les Européens et les Français «semblent l’envisager». «Du moins faut-il avoir conscience que l’économie iranienne reste risquée et marquée par la corruption et l’arbitraire». La situation actuelle perturbe, en tout cas, le rapprochement avec l’Iran souhaité par l’Elysée - c’est l’analyse de l’Opinion, qui rappelle que le ministre de la Défense a dû reporter une nouvelle fois sa visite prévue demain à Téhéran, tandis qu’Emmanuel Macron, qui envisageait de s’y rendre ensuite lui-même en visite officielle, verrait ses projets de rapprochement l’Iran rendus plus difficiles. Ces projets n’auraient toutefois jamais fait l’unanimité à Paris, selon le journal – qui cite l’existence d’un «lobby pro-arabe, proche des Etats du Golfe, toujours très influent à Paris». Très influent, également, à Washington, où Donald Trump continue d’afficher son amitié saoudienne, et son hostilité à l’égard du régime iranien - à voir pour terminer avec le dessin de Willem, pour Libération, où le président américain encourage les manifestants, servant d’alibi à la répression menée par le guide spirituel iranien, Ali Khamenei. A la fin de l’histoire, les manifestants sont morts, et ils se remercient mutuellement. En France, Najat Vallaud-Belkacem, annonce qu’elle ne sera pas candidate au poste de première secrétaire du parti socialiste. Dans un entretien à l’Obs, l’ex-ministre de l’Education explique que «l’avenir de la gauche dépasse de très loin la question de l’appareil socialiste» et déclare qu’elle a «toujours en (elle) autant d’engagement qu’auparavant», mais qu’elle ressent «le besoin de l’exprimer autrement». Dans sa «nouvelle vie», comme elle dit, Najat Vallaud-Belkacem va diriger une collection au sein de la maison d’édition Fayard nommée «Raison de plus», «consacrée aux batailles culturelles du progressisme». «Qui veut encore du PS?... Lire la suite sur notre site web. Notre site : http://www.france24.com/fr/ Rejoignez nous sur Facebook : https://www.facebook.com/FRANCE24.videos Suivez">https://www.facebook.com/FRANCE24.videos Suivez">https://www.facebook.com/FRANCE24.videos Suivez nous sur Twitter : https://twitter.com/F24videos">https://twitter.com/F24videos">https://twitter.com/F24videos News 2018-01-04 10:24:04 Partager sur Facebook News Chaine Youtube News Youtube - Google - Iran: "Briser les poings qui se lèvent n'a jamais éteint la rage" - Google - Iran: "Briser les poings qui se lèvent n'a jamais éteint la rage" wiki - Google News Youtube - Bing - Iran: "Briser les poings qui se lèvent n'a jamais éteint la rage" - Bing - Iran: "Briser les poings qui se lèvent n'a jamais éteint la rage" wiki - Bing La vidéo intitulée Iran: "Briser les poings qui se lèvent n'a jamais éteint la rage" a été publié sur Youtube le 2018-01-04 10:24:04. 13- rage" la éteint jamais n'a lèvent se qui poings les "Briser Iran: |
|||||||||||||||
Découvrez quelques vidéos en relation avec Iran: "Briser les poings qui se lèvent n'a jamais éteint la rage" | |||||||||||||||
| |||||||||||||||
|