Top Video Youtube |
|||||||||||||||
Jamal Khashoggi: "Ce dont le monde arabe a le plus besoin, c'est de la liberté d'expression" | |||||||||||||||
|
|||||||||||||||
Abonnez-vous à notre chaîne sur YouTube : http://f24.my/youtube En DIRECT - Suivez FRANCE 24 ici : http://f24.my/YTliveFR Dans la presse, ce jeudi 18 octobre, la disparition du journaliste Jamal Khashoggi, qui n’est toujours pas réapparu depuis son entrée dans le consulat saoudien d’Istanbul, le 2 octobre dernier. Le + : Recevez tous les matins la Revue de presse de France 24 sur votre iPhone ou sur tout autre mobile. Et également toujours sur votre PC en devenant fan sur Facebook… Dans la presse, ce matin, la disparition de Jamal Khashoggi, ce journaliste dissident, qui n’est pas réapparu depuis son entrée au consulat saoudien d’Istanbul, le 2 octobre dernier. Le lendemain de sa disparition, The Washington Post, dont Jamal Khashoggi était un contributeur régulier, dit avoir reçu une chronique envoyée par le traducteur et assistant du journaliste - une tribune dont le quotidien américain aurait retardé la publication, parce qu’il espérait que Jamal Khashoggi reviendrait pour en superviser la publication. «Maintenant, je dois l’accepter: cela ne va pas arriver», écrit Karen Attiah, la rédactrice en chef en charge de la rubrique «opinions» du Washington Post. «C'est la dernière de ses chroniques que je vais publier», poursuit cette consoeur. «Cette chronique rend parfaitement compte de son engagement et de sa passion pour la liberté dans le monde arabe, une liberté pour laquelle il a manifestement donné sa vie. He lui serai toujours reconnaissante d’avoir choisi The Washington Post comme son dernier foyer de journaliste il y a un an, et de nous avoir donné la chance de travailler ensemble». Intitulée «ce dont le monde arabe a le plus besoin, c’est de la liberté d’expression», ce texte rappelle que le classement mondial 2018 sur la liberté de la presse, ne reconnait qu’un seul pays «libre» en la matière, à savoir la Tunisie, suivie de la Jordanie, du Maroc et du Koweït, dans la catégorie «partiellement libre», le reste des pays arabes étant classés «non libres». «La conséquence de cela, écrit Khashoggi, c’est que les habitants de ces pays ne sont pas ou mal informés, ce qui les empêche de résoudre, et encore moins de discuter publiquement, les problèmes qui concernent la région et leur quotidien». «Les discours des gouvernements dominent la psyché publique, et même si beaucoup n’y croient pas, une large majorité de la population est victime de ces discours mensongers, malheureusement, cette situation a désormais peu de chances de changer, le monde arabe est aujourd’hui confronté à son propre rideau de fer, alors qu’il était si plein d’espoir au moment du printemps arabe, en 2011». Plus de 15 jours après, l’Arabie saoudite, soutenue par Donald Trump, affirme toujours ne pas être responsable de la disparition de Jamal Khashoggi. Tout en niant chercher à «couvrir» ses alliés, le président américain répète son refus de tout «jugement hâtif» sur l’éventuelle responsabilité de Riyad dans la disparition du journaliste - une déclaration à la Une du journal saoudien Arab News, qui note également que Donald Trump a souligné «le rôle clé» de l’Arabie saoudite dans la lutte contre le terrorisme. Mais la prudence du président des Etats-Unis lui vaut d’être accusé de voler au secours de ses amis saoudiens, notamment par le dessinateur Steve Bell, qui montre le prince héritier d’Arabie saoudite, dont l’entourage est suspecté d’être impliqué dans l’assassinat présumé de Jamal Khashoggi – en Vénus de Botticelli, baignant dans le sang, et dont Donald Trump tente de couvrir la nudité. Donald Trump, qu’on retrouve aux côtés d’Emmanuel Macron dans le dessin de Willem pour Libération, prenant la défense de Mohammed Ben Salmane, auquel tous deux ont bien l’intention de vendre les tas d’armes dans leurs brouettes: «il permet aux femmes de conduire des voitures!», plaide le président français. «Plus moderne, tu meurs», renchérit le président américain. Mohammed Ben Salmane est aussi montré par Peter Brookes en prestidigitateur prêt à faire disparaître le corps du journaliste, après l’avoir coupé en morceaux. «Ce meurtre va-t-il échapper à la justice ? », demande la légende. Un dessin trouvé sur Twitter, comme celui de Steve Bell. Face aux pressions, l’Arabie saoudite réagit dans la discrétion. D’après Le Figaro, le comité des sages de la famille régnante, en charge des problèmes de succession, se réunit depuis plusieurs jours pour «examiner la situation créée par la disparition de Jamal Khashoggi» et étudier le cas de Mohammed Ben Salmane, dont l’avenir se jouerait au sein de ce comité, qui pourrait pr... Lire la suite sur notre site web. Notre site : http://www.france24.com/fr/ Rejoignez nous sur Facebook : https://www.facebook.com/FRANCE24.videos Suivez">https://www.facebook.com/FRANCE24.videos Suivez">https://www.facebook.com/FRANCE24.videos Suivez nous sur Twitter : https://twitter.com/F24videos">https://twitter.com/F24videos">https://twitter.com/F24videos News 2018-10-18 15:24:03 Partager sur Facebook News Chaine Youtube News Youtube - Google - Jamal Khashoggi: "Ce dont le monde arabe a le plus besoin, c'est de la liberté d'expression" - Google - Jamal Khashoggi: "Ce dont le monde arabe a le plus besoin, c'est de la liberté d'expression" wiki - Google News Youtube - Bing - Jamal Khashoggi: "Ce dont le monde arabe a le plus besoin, c'est de la liberté d'expression" - Bing - Jamal Khashoggi: "Ce dont le monde arabe a le plus besoin, c'est de la liberté d'expression" wiki - Bing La vidéo intitulée Jamal Khashoggi: "Ce dont le monde arabe a le plus besoin, c'est de la liberté d'expression" a été publié sur Youtube le 2018-10-18 15:24:03. 16- d'expression" liberté la de c'est besoin, plus le a arabe monde le dont "Ce Khashoggi: Jamal |
|||||||||||||||
Découvrez quelques vidéos en relation avec Jamal Khashoggi: "Ce dont le monde arabe a le plus besoin, c'est de la liberté d'expression" | |||||||||||||||
| |||||||||||||||
|