Lors du 39e anniversaire de la révolution sandiniste, le 20 juillet, le président Ortega a qualifié les évêques de « putschistes ». L’Eglise est pourtant médiatrice entre le pouvoir et les opposants dans la crise politique que traverse le pays depuis le mois d’avril.
Pour quelles raisons Daniel Ortega accuse-t-il les évêques de comploter ?
La médiation menée par l’Eglise catholique, malgré les attaques qu’elle subit, peut-elle parvenir à résoudre cette crise politique ?
Est-ce que Washington joue un rôle dans cette médiation ?
Achim Lippold, journaliste au service international de RFI, répond aux questions de Alhassane Moussa à Sikasso. News 2018-07-29 05:24:03