Plus de 1.500 personnes se trouvaient rassemblées ce dimanche à une free party à Basse-Goulaine, près de Nantes, sous étroite surveillance des gendarmes qui contrôlaient tous les véhicules en sortie de site avec dépistage de stupéfiants et d'alcoolémie, a indiqué la préfecture de Loire-Atlantique et des Pays de la Loire. Ce rassemblement était pourtant interdit. Alors que risquent les partisipants ? News 2020-09-14 10:24:01