Les Anglais sont les premiers à avoir changé leur vaccination. Face à l'urgence outre-Manche, les autorités sanitaires ont décidé de distribuer la totalité des doses de vaccin disponibles le plus tôt possible. La moitié d'entre-elle était initialement prévue pour une deuxième injection, trois à quatre semaines après la première. L'objectif : vacciner un maximum de monde en un minimum de temps. Car l'immunité garantie après une première injection varie entre les vaccins de 70% pour Astrazeneca, 92% pour Moderna et 80% pour Pfizer-BioNTech, le remède utilisé en France. La question d'une unique dose se pose alors sur le territoire. Un pari risqué pour beaucoup de spécialistes, mais qui pourrait néanmoins permettre de freiner la propagation du virus. Business News 2021-01-01 20:48:01